Façade du presbytère |
La communauté de communes, maître d'ouvrage, a laissé jouer le talent de l'architecte JEAN-LOUIS TOURNEUX , qui a su mêler avec bonheur l'ancien au contemporain.
Séjour avec cuisine ouverte |
Ainsi , ce projet a pu voir le jour, grâce au travail de toute une équipe d'artisans d'après les conseils de l' architecte et de moi-même.Je tiens à souligner , que mon travail est non-rémunéré, je pouvais,donc espérer un peu de" pub" à défaut de reconnaissance , qui, n'est pas la qualité première des Normands !
Toujours est-il qu'aujourd'hui, la première locataire peut prendre possession de son logement ; une remise de clefs symbolique a été organisée à cette occasion devant le représentant du journal local "OUEST FRANCE"...
Article de Ouest France |
L'architecte est caché derrière une brochette d'élus, et quant à moi, que l'on ne voit pas, et, pour cause , j'ai été prévenu 1 heure avant ...!
Alors , voilà quelques photos pour rappeler le travail effectué sur ce chantier....et la retombée médiatique..!
Il devient très difficile de donner de son temps dans une société qui ne sait pas mettre en valeur le travail bénévole ...
Quant aux journaux locaux , on ne peut qu'en rire à défaut d'en pleurer ...!
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10 appartements sont en projet pour 2011, j'ai été conviée par l'architecte, satisfait de mon travail sur l'ancien presbytère, à en faire la décoration intérieure...Je pense, que je vais demander aux élus sur la photo de s'y coller...! L'ironie de l'histoire, c'est qu'ils seraient capables de me prendre au mot et de s'improviser "décorateurs",en piochant les idées dans mes réalisations effectuées depuis des années dans ce canton...dans l'ombre !
Un vent de rébellion souffle sur la France actuellement, et je crois que je n'ai pu éviter d'en être ébouriffée au passage ; la révolte gronde en moi , et je ne peux que me confier à mon "cher blog" pour crier à l'injustice.
Nous sommes en Août 2012. J'ai accepté, malgré mes réticences à effectuer le travail (toujours à titre gracieux) Mais plus le temps passe, plus l'envie, la passion disparaissent...J'ai l'impression confuse de la page blanche de l'écrivain.
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