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| G.LECOEUR en Egypte |
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| G.LECOEUR en Egypte |
Nous adorions voyager, l'un comme l'autre et jusque dans les années 79 on ne s'en priva pas; en fait ,tant que nous n'avions pas d'enfants , nous partîmes en Egypte,en Allemagne, en Angleterre, à los Angeles ,en Suisse, une nouvelle fois à l'île Maurice.....
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| MAITE (photo de G.LECOEUR) |
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| JOFFREY(Photo de G.LECOEUR) |
Je rêvais d'être maman, mais l'on ne fait pas toujours ce que l'on veut lorsque l'on veut ; ainsi je fît trois fausses-couches , la quatrième tentative fut la bonne mais à quel prix ?
Durant les trois premiers mois je restai couché dans le noir ; tout aliment ou boisson me faisais vomir. Jacques avait tout essayé, tout sauf....le caviar !
Une amie dont le mari naviguait sur "Concorde" et qui se désespérait de me voir dans un tel état, avait apporté avec elle un pot de caviar ( à tout hasard..) Jacques prépara des toasts mis le tout sur un plateau.
je dois avouer que je goûtais du bout des lèvres de peur d'être de nouveau malade ; mais "miracle"
mon estomac accepta cette offrande digne d'un prince !
Ne dit-on pas que les premiers mois le futur "bébé" choisit sa nourriture ? toujours est-il que je pensais à ce moment précis que cet enfant avait des goûts de luxe ! mais j'aimais cela...
Les mois suivants furent un enchantement, puis vint le jour où l'enfant parait ; une fille.Je crois que c'était le plus beau jour de notre vie. Elle avait deux merveilleux petits poings qu'elle serrait très forts, et elle semblait très en colère, l'avait-on dérangée à l'heure du goûter ? je pense que "oui" car très vite, lorsque le médecin l'a pose sur mon ventre , elle su aller vers "son casse-croûte"
L'année suivante la petite famille s'agrandit avec un petit garçon . Qui en venant au monde,confiant, dormait du sommeil du juste.Nous étions enfin une vraie famille et nous étions les plus heureux des parents.
Nous habitions à ce moment- là à Chantilly, dans une très jolie résidence entourée de grandes écuries. Les jours s'écoulaient dans une quiétude sans pareil......Mais le sort s'acharne toujours sur les gens heureux....Nous en avons fait, plusieurs années plus tard, l'amère expérience !
Bonjour , nous sommes de la mème génération ma femme de 1955 moi de 1948 mariée la veille de ses 18 ans C'est pour cela que je vous comprend .
RépondreSupprimerComment expliquer qu'à 14 ans c'était l'apprentissage mème si vous étiez le deuzième de la classe pour les garçons et usine pour les filles avec salaire versé intégralement jusqu'à votre majorité puis la moitiée si vous restiez à la maison à la nouvelle génération .
Je suis certain que vous écrirez un livre mème si vous l'éditez vous mème.
Je manque de vocabulaire pour dire ce que vous faite et vous encourager Bonne chance ! berluno
Merci Berluno pour ce commentaire que, je l'avoue, je n'avais pas vu... Notre époque était, effectivement, très dure et sans concession pour les jeunes que nous étions... Impossible pour certains d'entre nous de faire ce que nous voulions mais c'est peut-être ce qui nous a poussé à aller de l'avant et d'avoir du courage face à l'adversité dans notre vie :-)On se répétait ; "rien n'est dû, tout est a gagné..." et on savait que l'on ne pouvait compter que sur nous même !
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